Lorsque de bonnes personnes, des militants, meurent beaucoup trop tôt, la douleur est encore plus lourde à porter. Le 11 janvier, nous avons dû dire adieu à Alicia Jrapko. Dans sa jeunesse, elle avait fui la dictature argentine. Plus tard, elle est arrivée aux États-Unis, où elle s'est engagée dans la solidarité avec Cuba, avant tout en étant à la tête du mouvement Free the Five.