Un journaliste des Etats-Unis propose une alternative révolutionnaire pour faire face à l’impasse des soins de santé aux Etats-Unis Obamacare a sans doute sauvé ma vie ou l’a, au moins, rendue plus agréable, en me permettant de continuer à travailler et éviter de devenir un sans-abri.
Certes, Obamacare a des défauts, que ces députés républicains qui ne s’intéressent pas uniquement à des économies mais qui s’inquietent honnêtement de la qualité des soins auraient pu remédier facilement dans les années antérieures, ensemble avec Obama.
En attendant que nous disposons d’un système de santé universel, nous devrions peut-être considérer une autre approche qui nous ferait avancer beaucoup sur la voie vers cet objectif.
Nous pouvons tout simplement conclure un contrat avec Cuba pour qu’il nous envoie un nombre de ses médecins parfaitement formés, notamment des médecins de famille, afin d’offrir des soins de santé gratuits à tous les citoyens étasuniens qui le souhaitent. Cuba le fait déjà dans beaucoup de pays de l’Amérique Latine et dans d’autres coins du tiers-monde.
Je suis convaincu que les coûts d’un contrat pareil seraient très inférieurs à ce que le gouvernement paie actuellement pour Obamacare et que ce contrat serait même moins cher que le Trumpcare, tout en autorisant ceux qui n’en veulent pas de garder leur assurance et leur médecin actuels.
Cela impliquerait plus de personnes profitant de bons soins de santé à des frais beaucoup plus bas, aussi bien pour l’individu que pour l’Etat. Si vous vous inquiétez de la qualité de ces soins, n’oubliez pas que les Cubains – malgré tous les problèmes avec la politque criminelle de leur voisin du nord – sont en meilleur santé que les habitants des Etats-Unis.
Les recettes qu’un tel accord produirait pour Cuba seraient aussi un compensation partielle mais concrète de toutes nos sanctions catastrophiques infligées à Cuba.
Lisez l’article de Salim Lamrani à propos des initiatives au niveau de la santé lancées par les Cubains.
Cubacare : à considérer comme le cadeau d’adieu de Fidel aux Etats-UnisCounterpunch